Situé entre Huy et Modave, dans la rue du Frenoy à Marchin, le gîte « La casa della nonna » propose à ses visiteurs un cadre naturel à deux pas de la ville. Il est le fruit de 2 ans de travail de la famille D’Alessandro, propriétaire de la société marchinoise MD Technology.

« Le nom « La casa della nonna » est un hommage à ma grand-mère », raconte Alicia D’Alessandro. « C’était la maison de ma grand-mère décédée il y a 6 ans. Nous avons gardé la maison à cause de l’attachement sentimental, puis ma mère a proposé d’en faire un gîte en hommage à ma grand-mère. »
Les réservations se font via le site Belvilla.be.

A lire dans La Meuse H-W

À terme, Justine et Quentin pourraient proposer leurs œufs
dans les commerces de la commune et pourquoi pas, collaborer avec le CPAS.

Justine Robert et son compagnon ont installé une boîte à œufs en libre-service devant chez eux. Une idée survenue durant le confinement.
À 21 et 24 ans, Justine Robert et Quentin Libert se sont lancés dans un nouveau projet: proposer une boîte à œufs frais juste devant leur maison située au n°28 de la rue Armand Bellery, à Marchin...
L’objectif du projet se veut avant tout solidaire. « beaucoup de personnes se promènent dans la région et passent devant chez moi, confie Justine Robert. C’est donc l’occasion d’en faire profiter tout le monde. Il y a une tirelire à l’intérieur de la boîte. J’ai estimé le prix à 2€ pour six œufs et 3,50€ pour douze. Mais chacun est libre de mettre ce qu’il veut. Il n’y a pas d’obligation et ce n’est pas l’objectif initial.»... Article à lire dans L'Avenir

Il était une fois, non loin du tumultueux Hoyoux, dans un petit village condrusien, Fernand et Andrée, un couple d’exploitants agricoles. Dans leur fermette de Grand-Marchin, ils ont passé leur vie à s’occuper de leurs vaches, de leurs poules et autres compagnons. Mais les années passent inexorablement, les animaux disparaissent petit à petit… jusqu’à la dernière vache dont on a du mal à se détacher.

...C’est cette histoire vraie que le réalisateur marchinois Sébastien Pins a voulu raconter dans son documentaire intitulé « Quand les hirondelles s’en vont ». La Meuse Huy-Waremme

 Le site internet de « Quand les hirondelles s'en vont » est disponible ! N’hésitez pas à le découvrir !

Article précédent sur ce blog à propos de de Sébastien Pins

Pas facile de servir un menu gastronomique dans de bonnes conditions à l’extérieur. Les deux chefs étoilés Condrusiens en sont bien conscients.
Christophe Pauly, du Coq aux Champs à Tinlot, a renoncé à ouvrir son établissement dans ces conditions.
« Manger un petit bout comme un croque-monsieur ou des pâtes rapidement en terrasse, cela peut se concevoir, mais déguster un menu gastronomique avec des moufles et un bonnet cela ne me semble pas faisable…
Les portes de l’étoilé tinlotois resteront donc fermées jusqu’à ce que les conditions sanitaires permettent d’accueillir les clients à l’intérieur : « Dans le courant du mois de juin, s’il fait exceptionnellement beau, nous pourrions envisager une formule en extérieur,

A Marchin Arabelle Meirlaen songe à ouvrir ponctuellement en fonction de la météo,
Manger un repas gastronomique alors qu’il fait 13, 14 Cº, ce n’est pas très confortable. Nous avons acheté 50 plaids, mais seront-ils suffisants pour assurer le confort des clients ? ...Elle planche sur une ouverture ponctuelle, les jours de beau temps. « Si on annonce un beau week-end, on pourrait décider d’une ouverture éphémère. »
Pour les deux restaurants, le take-away  se poursuit...

Article à lire dans La Meuse

S’il conserve son emplacement initial rue Octave Philippot n°16, le comptoir à glaces marchinois connaît de nouveaux aménagements.

Auparavant situé dans un chalet, « Maoma Gelati » prendra place dans un food truck acquis par la gérante pour travailler dans l’événementiel. En outre, Christiane Wymmersch vendra les glaces artisanales de l’atelier stratois « Glaces Antoinette ».

« Avant, je proposais 27 goûts mais à présent je veux me concentrer sur cinq saveurs traditionnelles », précise-t-elle. « En plus de la vanille, du chocolat et du moka, je présenterai deux goûts fruités qui varieront toutes les semaines. »

Enfin, la gérante passionnée de glaces servira ses produits dans des gobelets biodégradables, du vendredi au dimanche de 14h à 21h.   Article à lire dans La Meuse H-W

La nouvelle boutique de Véronique Billemon regorge de surprises. «J’ai d’abord travaillé comme animatrice au sein de l’ASBL Le Jardin des Créatous mais j’avais envie d’autre chose, confie la Marchinoise.
J’ai donc recommencé à utiliser une technique que j’aimais beaucoup, à savoir le feutre de laine.» En décoration, en bijoux ou en toile murale, elle ne manque pas d’imagination et, en matière de vente, il est encore possible d’éviter le «made in China» à  des prix abordables...
A lire dans l'Avenir

Plus d’infos: www.planete-cocon.business.site ou sur la page Facebook «Planète Cocon».

L'essence de Planète Cocon, c'est de proposer des créations nées près d'ici. Les avantages? Vous faites un triple cadeau: un cadeau à l'artisan qui travaille près de chez vous à un juste prix (abordable, soit dit en passant), vous vous faites un cadeau à vous-même (c'est du fait main, des pièces uniques, avec un supplément d'âme!) et vous cocoonez la planète (tout ce qui se trouve ici n'a pas fait le tour du monde en bateau ou en avion). L'ENTREE EST GRATUITE: rien ne vous oblige à acheter si vous passez la porte. Vous serez accueilli avec le sourire. Vous pouvez venir juste pour le plaisir des yeux (un vrai remède contre la morosité) et au moins, vous saurez ce que vous pouvez trouver ici

Le film d’un Marchinois sélectionné pour un festival des Nations UniesUn court-métrage sur les débardeurs ardennais. - Pins

Il est désormais possible de louer le Château de Tharoul pour une nuitée en couple ou avec sa bulle familiale. Une nouvelle formule imaginée par le couple de propriétaires pour continuer à faire vivre le lieu malgré les mesures.
... Les grands groupes étant actuellement interdits, les propriétaires divisent désormais le château en différentes « bulles », ce qui permet de pouvoir accueillir de nouveau des résidents. « Grâce à cela, on peut continuer une activité, et rendre un service aux gens qui veulent se détendre. C’est un peu une bulle d’oxygène ».
... « Les personnes qui réservent ont une chambre, un salon privatif et une salle à manger. Les gens ne se croisent pas, et le parc de 4,5 hectares est suffisamment grand », précise la gérante. Sur place, les résidents peuvent avoir accès au sauna, au snooker, à l’espace fitness, au feu ouvert…
Article complet à lire dans La Meuse H-W
http://www.chateaudetharoul.be/