Raphaël Gérard valorise les plantes médicinales à l’espace-test de Strée. De la cueillette à l’assiette, toutes les étapes sont artisanales. Raphaël Gérard, espace-test Strée, plantes médicinales.

Cela fait plusieurs mois qu’il s’y prépare et, aujourd’hui, le rêve se réalise. Au départ cuisinier, Raphaël Gérard est passé de l’autre côté du plan de travail en devenant producteur. Depuis deux mois, il valorise ses produits artisanaux à base de plantes. «J’ai travaillé de nombreuses années dans différentes établissements horeca et puis j’ai eu envie de changer, explique-t-il. J’ai toujours aimé faire découvrir et partager. Je me suis ensuite passionné pour les plantes médicinales et j’ai suivi une formation dans cette dynamique pour les intégrer au mieux dans une alimentation. J’avais envie de faire les choses par moi-même et mettre mes compétences au service de la collectivité.»  Article à lire dans L'Avenir

Grands choix de fleurs pour vos jardinières
Pour gâter vos institutrices, premier arrivage, la suite arrive !!!!tablier, porte clé, mug, trousse de toilette et bien sûr bijoux..

Une centaine de litres, c’est la quantité de vin que Bertrand Conchin a réussi à produire deux ans seulement après l’installation de son vignoble de 2000 m² à Ouffet. « C’était la première année que je pouvais faire quelque chose » explique le viticulteur. « Je voulais tester une première production afin de me faire la main et voir quel goût aurait mon vin » ajoute-t-il.

Son vignoble étant encore jeune, Bertrand n’a pu récolter qu’une grappe sur chacun de ses 1000 plants. « Sur les 1000 grappes que j’ai vendangées, je n’ai pu en exploiter que 500 qui avaient une vigueur assez importante. Ça m’a permis de réaliser 120 litres de jus. Avec tout ça, j’ai pu faire 30 bouteilles de vin blanc pétillant qui doivent encore fermenter une année » ...lire la suite dans La Meuse H-W

Reportage vidéo à voir sur RTC

Joséphine, Léontine et Jean-Charles Cassart, trois frères et sœurs issus du monde agricole, ont profité du confinement pour se lancer dans une nouvelle activité commune : la culture de fraises. Depuis août 2020, 10.000 plants de fraisiers ont été plantés à mains nues sur 25 ares. Planter à la main est un choix de la fratrie pour prendre conscience du travail que demande une telle exploitation. 

Pourtant, depuis le début de leur activité, de nombreux obstacles ont défié l'entreprise des enfants Cassart. "La première difficulté, c'est la plantation sous les fortes chaleurs au moins d'août, explique Joséphine. La seconde a été des sangliers qui sont venus visiter nos plants durant la sécheresse du mois de septembre. On avait planté 10.000 plants, nous en avons perdus 2.000. " 

Les premières ventes ont eu lieu mi-mai mais les trois frères et sœurs sont confiants et croient au développement de leur activité. Ils envisagent déjà l'avenir de façon optimiste en prévoyant l'installation d'une deuxième serre. Ils veillent cependant à ne pas se précipiter et à garder l'authenticité de leur exploitation. Les fraises des enfants Cassart sont en vente sur la place de Seny à Tinlot. Elles sont disponibles tout au long de la  semaine à partir de 15h30 et le week-end dès 9h jusqu'à épuisement des stocks. Ces premières récoltes s'annoncent peut-être être celles d'une longue série pour les trois frères et sœurs.
A. Mattina 

C’est dans le zoning d’Ouffet, sur ce terrain, que Bati-self va voir le jour.

Maxime Lacrosse et son père lancent Bati-self, société innovante qui accompagne les autoconstructeurs dans leur projet.
Construire soi-même sa maison quand on n’y connaît rien ou qu’on ne dispose pas du matériel? C’est à ce jour un pari plutôt risqué. Mais bientôt débarque dans le secteur une toute jeune société qui pourrait bien faire bouger les lignes et révolutionner le monde de l’autoconstruction.
Bati-self, qui s’installe dans le zoning d’Ouffet, propose d’encadrer et d’accompagner les autoconstructeurs dans cette grande aventure, pas à pas. L’Ouffetois Maxime Lacrosse, 27 ans, et son papa, Marc Lacrosse, qui ont tout deux une expérience dans la construction, offrent une assistance, un conseil et un suivi du projet, de la conception au gros œuvre fermé, au travers d’une série de service: assistance sur chantier, études de stabilité, gestion de planning… Ils mettent même à disposition un conteneur reprenant tout l’outillage nécessaire durant le chantier (de la grue sur roulette, en passant par la scie à ruban ou le malaxeur pour la colle). «Grâce à nous, quelqu’un qui n’a jamais touché un bloc peut construire sa maison, sereinement, résume Maxime. Qu’il soit tout seul, ou avec toute une équipe derrière lui, qu’il soit pressé ou non, qu’il soit novice ou pro, c’est possible. Tout est sur-mesure, adapté.»
...lire l'article complet dans l'Avenir

Changement de cap professionnel pour Véronique Favarato, qui lance son concept de bed & boutique dans sa ferme de La Rock. Article à lire dans l'Avenir  En bref:
Mercredi et week-end
La boutique est ouverte mercredi après-midi, vendredi (avec une nocturne) et le week-end en journée. Mais aussi tous les jours sur rendez-vous. Tous les détails sur sa page Facebook «Bed & boutique du Lapin vert». Adresse: La Rock 28. 0497/54 10 80
Déco coups de cœur
Pour choisir ses objets déco, Véronique a ses «adresses», ses fournisseurs. «Je sillonne beaucoup de showrooms et j’ai déjà mes habitués. Je traite en direct avec les fournisseurs. Je m’inspire aussi de ce que font nos voisins, en Hollande, en Allemagne et en France.» Ce qu’elle aime aussi, c’est chiner, récupérer, proposer du «fait main». « Je suis donc aussi en contact avec des artisans locaux.»
Animations
Que ce soit pour sa boutique ou sa chambre d’hôtes, Véronique veut un projet dynamique, qui bouge. «Je compte organiser dans la boutique ou pour mes hôtes des démos de vêtements, de bijoux, des ateliers créatifs ou encore un atelier gin pour lequel j’ai suivi une formation.»
E-shop
Un site internet est en cours de création. On pourra y trouver un web-shop et une vitrine en ligne.
Paradis touristique
L’entrepreneuse est convaincue que sa chambre d’hôtes répond à une demande. «Anthisnes est prisé comme destination touristique. Il existe pas mal de gîtes mais pas de chambre d’hôtes. Ça complète l’offre. On a tellement de belles choses à découvrir ici: l’Avouerie, les promenades, la proximité de Durbuy, Hamoir, Aywaille.»
Les hôtes profiteront d’un bel espace cosy, d’une cuisine pour préparer des plats de producteurs locaux livrés sur place. Ils auront aussi à disposition une partie du jardin (avec en prime les moutons).

Il était une fois, non loin du tumultueux Hoyoux, dans un petit village condrusien, Fernand et Andrée, un couple d’exploitants agricoles. Dans leur fermette de Grand-Marchin, ils ont passé leur vie à s’occuper de leurs vaches, de leurs poules et autres compagnons. Mais les années passent inexorablement, les animaux disparaissent petit à petit… jusqu’à la dernière vache dont on a du mal à se détacher.

...C’est cette histoire vraie que le réalisateur marchinois Sébastien Pins a voulu raconter dans son documentaire intitulé « Quand les hirondelles s’en vont ». La Meuse Huy-Waremme

 Le site internet de « Quand les hirondelles s'en vont » est disponible ! N’hésitez pas à le découvrir !

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